Maria Bellos

Nom - Prénom(s) :Bellos Maria

Age : 24 ans

Groupe: HippieSsssss

Avatar : Pénélope Cruz

Origines : Madrid-Espagne

Caractère : Maria est une jeune fille dotée d’un fort caractère et très active
Pardon ? C’est trop succinct ? Bon d’accord, d’accord, je continue et je développe. Donc, Maria est espagnole, méditerranéenne, le sang latin coule dans ses veines et sans vouloir jouer les stéréotypes, la jeune femme a un caractère bien trempé ! (Le premier qui dit mauvais aura de ses nouvelles !) En fait, c’est juste que Maria n’a pas l’intention de se laisser marcher sur les pieds. Certains la disent grande gueule, mais c’est juste qu’elle ne s’écrase devant personne et s’affirme haut et fort. Impulsive et sujette à la colère, elle explose facilement et ses colères sont assez redoutables. Capables d’une grande force physique pendant un accès de rage, elle a déjà allongé une paire de gamins qui lui cherchaient des noises ! Mais depuis qu’elle est hippie, elle s’est calmée de ce point de vue là. Elle essaie de tout prendre de façon cool et tente de maîtriser ses colères. Cela marche plus ou moins bien. Disons que maintenant, une langue acérée a remplacé un ton colérique. C’est même peut-être presque pire qu’avant. Toujours est-il que quand l’injustice frappe, Maria est là pour la dénoncer par exemple. De par sa grande gueule, elle a très vite fait partie des filles populaires au lycée, aussi parce qu’elle était jolie et sympathique. De plus, c’était, c’est toujours d’ailleurs, une bonne élève. En général, ces derniers sont montrés du doigt à l’école par leur camarade jaloux, mais pas Maria. Studieuse et dotée d’une bonne mémoire, la jeune fille aimait beaucoup les études, ainsi que la lecture. Très perfectionniste, elle ne laisse jamais rien au hasard, allant parfois jusqu’au zèle. Elle est également maniaque ce qui va de pair avec son perfectionnisme et prend énormément soin de ses affaires. Ainsi a-t-elle dans sa chambre un vieux nounours en très bon état qui la suit depuis plus de 16 ans. Et aussi ne peut-elle se retenir de tout ranger et de faire des réflexions aux gens bordéliques. On peut dire que de ce point de vue là, Maria est limite névrosée et presque invivable.
Malgré son mauvais caractère, euh non pardon, son fort caractère, Maria est une fille drôle, nantie d’un profond optimisme, sourit souvent, rit beaucoup et de façon peu discrète. Un rire qu’elle essaie d’ailleurs de corriger, vu qu’il ressemble beaucoup au reniflement d’une truie en rut… pas top n’est-ce pas ? Elle n’est ni très timide, ni très exubérante, elle sait tenir sa place. Ce qui lui vaut de réussir à s’adapter à la vie londonienne de par son affabilité et son adaptabilité. Maria n’est vraiment attachée à aucun endroit. Tant qu’elle a sa guitare, cela lui va.
Enfin, elle est maladroite et parfois gaffeuse, ce qui lui a déjà valu des situations assez gênantes dont elle préfère ne pas trop parler.
A signaler qu’elle supporte difficilement l’inactivité et se trouve toujours quelque chose à faire. Un vrai ouragan, Maria ! Elle est fortement militante pour l’écologie et contre le progrès, aime les bébés pandas, mais pas les grosses usines qui puent.

Physique : Ah la partie la plus intéressante ! Parce que le caractère, c’est bien beau, mais c’est pas avec ça qu’on ferre le poisson hein ? Alors, alors… par où commencer ? Les mensurations peut-être ? Oui, ça marche bien ça ! Alors, Maria fait approximativement du 87/64/90 pour une taille de 1m72 et un poids de 59 kilos (attention, pas 60 ! Jamais 60 !). Ca sonne bien sur le papier hein ? Ben en vrai aussi, ça tombe bien ! Donc, Maria est fine, avec une poitrine bien proportionnée à son corps (le bonnet restera secret), des petites fesses rebondies, des jambes musclées et un ventre plat. Tout ceci est le résultat de quelques heures de sport par semaine, pour l’entretien. Oui, Maria aime bien faire du sport, ça la détend.

Côté visage, la jeune fille a un visage très fin, un peu trop peut-être, aux joues un peu creusées, avec un petit nez droit. Sa bouche est plutôt fine, à son grand désarroi. Elle aurait adoré avoir de belles lèvres pulpeuses. D’ailleurs à ce sujet, elle a déjà essayé un gloss prévu à cet effet, mais a très vite compris sa douleur quand ses lèvres se sont mises à la piquer et ont enflé, en devenant un peu trop rouges. Ca lui apprendra à utiliser des cosmétiques qui sont en fait allergisants pour obtenir un tel résultat ! Bref, les lèvres de Maria sont fines, mais elle se rattrape avec un joli sourire digne d’émail diamant. Il lui arrive aussi de se contenter d’un demi-sourire, plus mystérieux, qui lui donne des allures de femme fatale, plutôt que d’adulescente. Et après ce sourire, elle vous achève par un regard à tomber par terre, brun, mais surtout recelant des promesses torrides. Un regard souvent pétillant, presque toujours intelligent (sauf quand il se pose sur un mec à tomber par terre, là ça ressemble plus à un regard de bovin enamouré, mais passons). Ses yeux sont entourés de longs cils noirs et surmontés de sourcils à l’arc parfait (merci l’esthéticienne !)

Enfin, son visage est encadré de cheveux noirs qui ont la sale manie de frisotter quand il fait humide ou au saut du lit. Une horreur ! Il faut une bonne demie heure chaque matin à Maria pour être à peu près présentable. Dur, d’être une fille. C’est pas vraiment qu’elle soit coquette, mais bon, la coupe épouvantail, même dans ce quartier, ça craint.

Enfin, Maria est adepte du jean patte d’eph, des tuniques longues, des foulards dans les cheveux et bien sûr, des lunettes hippies, teintées en bleu ou rose, selon son envie.

Histoire : Maria Bellos est née en 1983, dans un petit village aux environs de Madrid. On ne peut pas vraiment dire que sa venue au monde ait été attendue et appréciée. Malheureusement, elle est le résultat d’un rapport « amoureux » entre Isabelle et Tonio, un jeune couple paumé et surtout très instable. Isabelle a 18 ans et est complètement droguée, alors que Tonio abuse d’elle et la bat. C’est dans cet univers très sain que la petite voit le jour. Ca promet de beaux moments hein ?

Les cinq premières années de la vie de la petite Maria furent très difficiles et éprouvantes. Quand papa était en colère après maman, elle devait vite aller se cacher dans le placard, et surtout ne pas faire de bruit. C’est maman qui l’a dit. Maman qui était trop défoncée pour se défendre. Et ainsi, semaine après semaine, elle assistait au calvaire de sa mère, depuis le trou de la serrure du placard. Jamais son père ne la frappa, mais jamais il ne lui témoigna d’affection non plus. Seule sa mère le faisait, mais pas très bien hélas. L’enfant allait à l’école et finalement, en voyant le mutisme de la petite, la maîtresse finit par se poser des questions et apprit la vérité. Elle appela alors les services sociaux, qui retirèrent Maria à ses parents et la placèrent dans un foyer.

Ouf sauvée ! Sauf que la petite ne se rendait pas compte de cela. Ce qu’elle savait c’est que maintenant elle était seule avec Juan (son nounours) et d’autres petits enfants, pas forcément très gentils. Maria avait 5 ans, une proie facile… Sauf que si Maria ne disait rien à la maison, il n’en résultait pas moins qu’elle n’était pas une faible. Quand un garçon plus vieux lui prit son nounours, elle se jeta sur lui et lui mordit le bras au sang. Il fallut qu’un adulte intervienne pour les séparer. Le gamin pleurait, alors que maria le regardait, une lueur de défi dans le regard. A partir de là, elle fut étiquetée comme enfant perturbée. Tout ça parce que Rodrigo avait voulu prendre Juan ! Bref, à partir de là, elle alla voir un psy pour enfant. Etonnamment, cela semblait fonctionner. De petite fille sauvage, Maria devint souriante. Surtout quand elle fut placée dans une famille d’acceuil qui l’aima vraiment. A 8 ans, sa vie commençait enfin !

Ses résultats à l’école devinrent bon, elle se faisait plein d’amis et elle avait un grand frère adoptif qui veillait sur elle. Manuel était de 4 ans son aîné et était la coqueluche de l’école. Maria était fière d’être sa petite sœur ! Elle entra au collège, puis au lycée, et c’est là qu’elle commença à se passionner pour la culture hippie. En fait, un drôle de zigoto avait débarqué en terminale dans son lycée, il était complètement décalé, très peace and love. Maria le trouvait vraiment sympa. Il venait de Londres et d’un quartier complètement déjanté. Malheureusement, ses parents avaient divorcé et il avait du venir vivre avec sa mère en Espagne. Mais il comptait bien retourner chez lui dés que possible. Il apprit à Maria à jouer de la guitare et l’initia aussi aux délicieux voyages spirituels. L’année scolaire prit fin, Maria eut son bac et entama des études pour devenir homéopathe et exercer en parallèle en tant qu’acupuncteur.

Elle perdit de vue son ami, mais l’idée d’aller faire un tour dans ce drôle de quartier ne l’avait pas quittée. Finalement, elle se décida. Elle quitta sa famille qui fit tout pour la retenir. Déjà qu’ils s’inquiétaient de voir Maria fumer des trucs pas nets et s’habiller de façon rétro. Alors en plus la voir partir ainsi !!! Mais rien n’y fit. Et à 24 ans, Maria quittait l’Espagne, direction Londres, sans bien parler anglais en plus. Mais peu importe, Maria était déterminée et appliquée. Douée d'une intelligence vive pour peu qu'elle s'en donne la peine, elle se mit à parler anglais avec de plus en plus de facilités, bien qu'elle conserve toujours un accent fort prononcé et égare quelques mots espagnols dans ses phrases.
Elle ouvrit son cabinet d'herboristerie et constata avec ravissement que cela marchait plutôt bien. Elle se fit des clientes régulières, notamment Ann Hataway, avec qui elle prend toujours plaisir à papoter (et puis cela l'exerce à mieux parler la langue).
Si Maria est facilement sociable, il en faut peu pour mériter sa haine et celle qui en a la palme est cette peste de Jerica, incapable de la moindre profondeur, si ce n'est pour discuter de la couleur de ses fringues.
Par contre, ce qu’elle n’avait pas prévu, c’est qu’à peine débarquée, elle rencontrerait un jeune homme adorable qui lui taperait dans l’œil. Pour le moment, Nick et elle n’en sont encore qu’au doux jeu de la séduction, mais ils ne sauraient tarder de passer à l’étape supérieure.

Liens :
*Elle est amoureuse de Nick Balden, il ne manque plus qu'un ridicule baiser entre ux pour conclure!
*Elle connaît Ann Hataway qui vient lui acheter des herbes…Pour la cuisine bien sur !
*Deteste Jerica Benton qui lui semble trop futile

Signe(s) particulier(s) : Joue de la guitare, adore les grands chapeaux de paille, a un yin et un yang tatoué sur la cheville droite.
Tic de langage: Maria émaille encore ses discours de mots espagnols, surtout quand l’équivalent en anglais lui échappe, sans compter son accent à couper au couteau.
Par contre elle adore dire c’est too much ou so ! C’est too much cette façon de faire ou de s’habiller. C’est too much ton bouquin… Une expression qu’elle adore^^et qui est un peu saoulante. Par exemple son mec est too much!ou so cool…